30Hier soir, le Kawa Théâtre était plein à craquer pour la représentation de la pièce 12 hommes en colère. 8 Montrer la réponse Mathématiques, 16.01.2022 20:33
Nousy sommes. Mondieumondieumondieu Je n'arrive pas à croire que cette histoire touche à sa fin. Il y a un an et demi de ma vie là -dedans. Un an et demi d'amour aussi, d'amour pour mes personnages. Et pour mes lectrices aussi (j'accorde au féminin par habitude). Bref, c'est tout ça qui s'arrête et, croyez-le ou non, j'ai encore plus de mal à m'y
Atitre d’exemple : 63 auteurs et illustrateurs seront à la signature et plusieurs expositions présenteront des originaux d’Elzbieta, Bruno Pilorget, May Angély et Marc Lizano. Il y a aussi une projection de 2001 l‘odyssée de l’espace et, pour ceux qui n’ont pas vu, ce sera que du bonheur. EXPOSITION – La Bibliothèque Faidherbe, 18/20 rue
Fast Money. Les gars, j'ai "craqué" ce matin le fap Je le mets en être guillemets. Bon par contre je suis pas fan de la manière, mais je voulais vraiment la me vider et repartir gros je suis allé sur un site de chat avec cam aléatoire Je suis tombé sur plusieurs meufs, dont 2 meufs à la fin complètement timbrées. Elles ont montré leurs seins, cul, tout ce que vous voulez. Du coup j'ai pris le snap, et on s'est fait un plan snap avec les 2 bordel de merde c'était irréel. Le pire c'est que c'était pas des fakes, car elles faisaient ce que je contre je refais plus jamais ça, car j'ai tjr peur de me faire niquer. Je demande l'âge car je suis pas dans des délires chelou, elles m'ont dit 20 vrai je vais repartir proprement, sans edge, sans porno. Comme j'ai craqué le matin, j'hésite même à comptabiliser mon no fap jusqu'à fin août à partir de 11 heures aujourd'hui, jusqu'au 1 er septembre 11 que je sorte de délires je fais 20 jours sans fap, edge, porno, ça serait le record de ma vie
Son talent brut et sa personnalité singulière bousculent le cinéma français. Deux césars en poche, l’actrice des Combattants s’impose icône du cinéma d’auteur dans les Ogres et bientôt chez les frères Dardenne. Rencontre avec une féministe réfléchie et première vision qu'on a d'Adèle Haenel quand on entre dans la chambre d'hôtel où elle vient d'être photographiée, c'est celle d'une grande fille en denim et boots de daim usé qui cherche du coton pour se démaquiller. Elle dit que c'est trop, que ce n'est pas elle, qu'il faut lui enlever tout ça - cette féminité collante -, et tout de suite. Elle annonce la couleur force vive, farouche, du tempérament, c'est sûr, ombrageuse, un peu, quand, durant l'interview, elle fronce les sourcils et vous renvoie vos questions à la figure - toujours avec pertinence. Elle est belle et brusque, des brusqueries d'adolescente même si elle a 27 ans, donne l'impression de robustesse une sportive aux épaules de nageuse mais au visage de vamp de l'entre-deux-guerres, yeux verts et bouche pulpeuse. Un alliage inédit dans un cinéma français qui brasse plutôt des jeunes premières coquettes lorgnant des contrats avec des marques de luxe. On n'a jamais vu Adèle H. au front row des défilés, ses apparitions sur red carpet - le terrain de jeu de ses consœurs de casting - ne sont pas restées dans les mémoires, et c'est très bien comme ça. On l'a à l'œil depuis Naissance des pieuvres 2007, de Céline Sciamma, à qui elle a déclaré son amour lors d'une Cérémonie des césars. Elle en a glané deux, haut la main pour Suzanne, puis, l'an dernier, pour les Combattants, film emblématique qui a dessiné un nouveau profil d'héroïne virile dans le cinéma français. Adèle Haenel, icône du cinéma d'auteur, a été projetée au cœur du système elle est l'actrice la plus convoitée du moment et vient de terminer à Liège la Fille inconnue, des frèresDardenne, qu'on retrouvera inévitablement au prochain Festival de Cannes. Il faut l'entendre parler de cinéma, regard fixe et débit ininterrompu, pour comprendre à quel point cette fille est incandescente. Dans les Ogres, film choral de Léa Fehner, le quotidien d'un théâtre itinérant qui joue du Tchekhov, elle joue Mona, actrice et enceinte. Le journal de bord de cette tribu qui voyage de ville en ville, un chapiteau sur le dos, dresse aussi un portrait-robot universel des acteurs, monstres truculents pleins d'amour et de découvrirSuri Cruise la petite fille gâtée d'Hollywood, ou l'histoire d'une enfant diabolisée par les médiasMadame Figaro - Depuis le succès des Combattants, vous intriguez…Adèle Haenel. - Je vois bien que la demande est plus forte, mais je ne cours pas après la publicité et je n'ai pas l'intention d'envahir l'espace public. J'estime qu'il faut rester discret. La notoriété n'a rien changé à ma vie et elle ne changera surtout pas mon envie de faire des films en suivant la même quoi cette ligne ?Je fais un film pour porter une parole. Je sens quand un réalisateur a quelque chose à dire. Je sens quelque chose, une volonté, une vibration. Il y a un fil, une intuition, une vérité qui s'impose à moi. Je sais ce que je dois faire, je le sens. C'est à la fois mystique et très rationnel. Ce qui est intéressant, c'est de sortir d'un nombrilisme, de s'élever, de parler des gens, de parler du monde. J'aime l'idée que tout s'imbrique collectivement les sentiments, l'économie, la politique. Un film est une histoire commune, et ce dialogue-là , je veux en être. Un film doit être en résonance directe avec son époque le cinéma, c'est aujourd'hui. Je fais les choses pour maintenant, pour tout de suite, et ce n'est pas à moi, à nous, de décider si un film va rester, s'il est fait pour l'éternité. Je me sens extrêmement vous sent très habitée lorsque vous parlez de cinéma…J'ai plein d'autres raisons de vivre, mais, oui, la représentation des choses m'intéresse profondément. Comment le cinéma s'intègre-t-il dans la société ? À qui s'adresse-t-il ? Le cinéma, c'est évidemment un acte politique. Par exemple, même le dernier Star Wars est politique. J'ai été vraiment soulagée de voir autant de femmes et des couleurs de peau différentes cela veut dire que tout le monde peut être un héros et ça fait du Haenel est coifée et maquillée par Christelle Ribeiro. Photographie réalisées à Paris, Photo Jérôme dit qu'au cinéma les femmes sont en train de prendre le pouvoir...C'est un marronnier. On en fait tout un fromage, mais si vous vous plongez dans les chiffres, ce n'est pas si vrai les femmes restent minoritaires. Je ne peux pas me contenter de le machisme ambiant qu'on prête au cinéma ?Je ne vais pas perdre mon temps et mon énergie à éduquer ces plus facile de s'imposer dans ce métier quand on est un homme ?Votre question est bizarre. Soit on désigne des phénomènes de surface - les décideurs sont des hommes, ils disposent de l'argent et donc du pouvoir -, soit on débat d'une question plus large dans quel monde évoluons-nous ? Et là , toujours le même constat. Le monde est coupé en deux il y a, d'une part, l'homme, le viril, le tout lié à des qualités supérieures, et, d'autre part, la partie inférieure, la femme, le secret, les humeurs. Bien entendu, toute notre représentation est liée à cette division. Je me pose souvent la question suivante dans un monde juste, sans discriminations, c'est quoi l'art ? L'art aujourd'hui dialogue avec son temps, il n'abolit donc rien mais participe à la on n'arrive pas à vous cataloguer, on vous a proclamée virile…J'aimerais bien qu'on m'explique pourquoi il faut toujours définir les gens. Pour être une femme, il faudrait être une femme féminine, c'est ça ? Pour moi, c'est redondant. Je n'entretiens aucune posture, je suis moi-même. Mais le regard qu'on porte sur moi ne me gêne pas faites-vous votre avis, il n'y a pas de problème…Cependant, vous incarnez un renouveau aux antipodes des jeunes premières des red carpets…Je ne connais pas celles dont vous parlez, mais je ne serai jamais contre d'autres propositions de femmes. Après tout, celles-ci aussi composent sans doute avec leur vérité intérieure. Mais là encore, je ne veux pas commenter quelque chose qui m'échappe complètement le regard des autres. Je conçois bien que tout soit compliqué pour les actrices qui sont si sollicitées qu'elles finissent par participer, de bon ou mauvais gré, à une sorte de cacophonie une de ces ogresses que décrit Léa Fehner dans son film ?Je viens d'avaler environ vingt-cinq croissants, c'est une piste, non ? Dans le film de Léa, il y a une énergie proche de celle des Combattants l'action comme solution à une époque en crise. Ici, c'est le rire et la gloutonnerie face à une angoisse personnelle et à une époque qui valorise la souffrance. Moi, je pense qu'il faut réveiller les gens, leur faire comprendre que la fatalité est un discours terrible car désarmant. On nous dit que la planète se réchauffe, que des gens se font massacrer, que des populations entières sont en mouvement, je ne dis pas que nous ne sommes pas impuissants face à ça, mais se sentir concernés et responsables est déjà un premier pas vers l' acteurs sont-ils des monstres ?Je ne sais pas et je m'en fous. Je ne suis pas là pour dire aux gens je suis comme ci, comme ça, je suis mieux que vous. Je n'ai pas à prendre en charge cette question. Pourquoi moi ? Je ne sais pas. Je me pose souvent la question dans un monde juste, sans discriminations, c'est quoi l'art ? Oui, pourquoi vous et pas une autre ? Acteur, c'est un métier d'élu…C'est quoi un acteur ? Il ne faut pas surévaluer leur hypersensibilité. Le truc, c'est le courage. Le plus difficile, c'est ça, le courage et la sincérité ne pas se cacher, s'engager avec ce qu'on a, avec son visage et avec son corps, avec tout, sans fuite, sans échappatoire. On dit souvent "Être acteur, c'est être quelqu'un d'autre." Mais il faudrait surtout assumer d'être soi-même. Ce n'est pas le métier le plus équilibré de la terre mais un acteur sain, ce serait bizarre, non ?Justement, on vous compare parfois à … y a pire comme critique. Ce que j'aime chez lui, c'est cette sensibilité poétique qui n'a rien de bidon. On sent bien son amour des textes. Et puis, quand même, quelle liberté de jeu !Pouvez-vous tout jouer ?Je n'en sais rien. Ce que je sais, c'est que le sentiment de confort est dangereux. On se transformerait alors en petite usine. Moi, dès que je commence un film, je ne dors plus. Les premières scènes, c'est un nue pose-t-il problème ?Ça m'énerve. Dans tous les films, il y a cette double injonction qui est celle de la société ou du public on nous demande, à nous les actrices, de nous mettre à poil mais de culpabiliser pour ça ! Mais non les gars, je ne vais pas culpabiliser pour que vous puissiez être pleinement satisfaits que j'occupe cette place assignée de la putain et de la fille bien élevée ! L'engagement que je prends quand je fais un film est bien plus grand que côté féministe…Je n'ai pas de côté féministe, je suis féministe simplement parce que j'ai envie d' toutes les femmes ne le sont pas…Alors comme ça, c'est un truc de filles, le féminisme ? Et la lutte antiraciste, c'est un truc de Noirs ? Ce n'est pas une lutte de pouvoir ou de lobbying, ce n'est pas Pepsi contre Coca. Non, c'est une question fondamentale qui porte sur l'humanité.1 Les Ogres, en salles le 16 mars. Au Théâtre de l'Atelier, à Paris, dans C'était hier, de Harold Pinter, fin lire aussi Alicia Vikander est-elle la nouvelle Ingrid Bergman ?"Sexy, blonde, alanguie..." Un producteur de cinéma compile les scripts sexistes sur TwitterBrie Larson, l'inconnue qui va gagner l'Oscar
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