4avantages des bandes résilientes pour isoler chez vous. Les bandes résilientes concurrencent fortement les autres isolants comme la mousse polyuréthane. Et pour cause, elles offrent de nombreux avantages pour isoler votre logement : 1. Une excellente isolation phonique. Elles absorbent les vibrations et limitent la propagation des ondes
Denombreux enduits sont appliqués, si la courbure des murs ne dépasse pas 2,5 cm.Lorsque cet indicateur est beaucoup plus, les spécialistes réalisent le plâtrage en plusieurs couches à l'aide de balises de nivellement spéciales. Mais il faut comprendre que plus le plâtre est épais, plus le risque de fissuration et de chute avec le temps est élevé. Pour éliminer ces conséquences
Plaquesde plâtre disposées verticalement. Les plaques de plâtre ( familièrement évoquées sous les noms de marques enregistrées : « placoplatre » ou « placo » ; « gyproc » au Québec et en Belgique) sont un produit de construction industrialisé couramment utilisé pour la finition des murs et des plafonds intérieurs.
Fast Money. Comment disposer les pattes de fixation autour du châssis ? Les fixations sont disposées en priorité au voisinage à une distance maximale de 10 cm des axes de rotation, des points de condamnation des ouvrants sur le dormant, des cales de vitrage dans le cas des châssis fixes et au voisinage des meneaux et traverses. La distance maximale entre deux fixations est de 0,80 m. Sur les montants la distance entre fixation et bord du fond de feuillure d’un angle du dormant est au maximum de 0,25 m. Pour les fenêtres PVC, dans le cas d’assemblages soudés, toute fixation doit être à une distance comprise entre 5 et 10 cm du bord du fond de feuillure. L’immobilisation de la pièce d’appui et du seuil est obligatoire pour les fenêtres de plus de 0,9 m de largeur mesurée entre dormants. Sauf prescription particulière du concepteur, dans le cas d’un bloc-baie, si le coffre possède une console intermédiaire la fixation se fera par celle-ci. Sinon la fixation aux extrémités de la traverse supérieure sera doublée. Les fixations doivent se situer sur le dormant des menuiseries. On ne peut pas fixer le châssis au gros oeuvre par l’intermédiaire des fourrures ou tapées. Par contre ces fourrures ou tapées peuvent être fixées sur ces pattes ou avoir des fixations particulières. Dans le cas des baies situées dans des murs avec parois de doublage, les fixations doivent être réalisées entièrement sur le mur indépendamment du doublage. Pour les portes-fenêtres battantes de largeur supérieure à 1,40 m, si les vantaux sont verrouillés à l’aide de crémone avec sortie de tringles, la fixation disposée au voisinage de la gâche doit être doublée. Ce schéma montre la répartition des pattes de fixation. Peut on réaliser un percement traversant du dormant pour le visser directement sur le gros oeuvre ? Oui et non…. Le percement est possible pour les montants et traverses hautes. pour un dormant bois, l’axe de la perforation doit être au moins à 15 mm des rives de ce dormant Pour d’évidentes raison d’étanchéité, aucun percement total traversant vertical des traverses basses ou des seuils ne doit être effectué en particulier pour le passage des fixations. pour un châssis circulaire, cela concerne toute la zone du dormant situé en partie basse à plus ou moins 45° par rapport à l’axe vertical de la fenêtre Cependant un percement de ces traverses basses ou seuils pour fixation est autorisé mais seulement s’il est situé en partie arrière, hors d’une zone susceptible de recevoir des eaux de drainage ou d’infiltration. Les pattes d’embrasure pattes plates avec clip peuvent être utilisées pour immobiliser la traverse basse quand on ne peut pas visser. Elle sont également utiles pour fixer les seuils PMR. Quelles sont les préconisations concernant les vis et chevilles d’ancrage ? Le choix de la vis et de la cheville devra prendre en compte l’effort déterminé précédemment et être adapté à la structure porteuse éléments pleins ou creux. Dans tous les cas de figure le diamètre minimal est de 6 mm et, sans rondelles appropriées, les vis à tête fraisées sont exclues. La largeur d’appui de la tête de vis ou de la rondelle de part et d’autre de la lumière doit être au moins de 1,5 mm. Dans la maçonnerie le diamètre idéal est de 8 mm et une patte de fixation bien conçue doit proposer des trous oblongs de 8,5 mm minimum pour pouvoir forer directement à travers ceux-ci. Les châssis alu à rupture de pont thermique sont constitués de 2 demi-profils. Sur lequel doit on fixer la patte ? Pour les menuiseries à frappe sur l’un ou l’autre à certaines conditions Les fixations peuvent se faire uniquement sur l’un des profilés constitutifs du dormant RPT. Cette disposition n’est cependant possible que si ce profilé est tubulaire et si les assemblages d’angles du dormant comportent un dispositif équerres, blocs, plots, etc. transmettant les efforts des traverses aux montants et réciproquement. De plus cette disposition n’est possible que si le poids de chaque ouvrant ne dépasse pas 100 daN. Dans le doute il est préférable de se fixer sur le demi-profil intérieur. Pour les coulissants Les équerres de fixation doivent impérativement recouvrir les 2 demi-profils. Si la structure du demi-profil intérieur le permet présence d’une gorge pour clameaux il faut de préférence y fixer la patte. Si la gorge pour clameaux n’est située que sur le demi-profil extérieur il faudra donc s’y fixer en veillant à ce que la patte soit assez longue pour aller recouvrir le demi-profil intérieur. Mais dans les 2 cas, il sera créé autant de ponts thermiques que de pattes de fixation. Il faudra donc isoler les pattes avec des cales de pont thermique. Comment éviter les ponts thermiques sur les châssis alu ? Les exigences du DTU Pour les fenêtres aluminium à rupture de pont thermique, la conception des fixations et de l’environnement de la menuiserie ne doit pas entraîner la création de pont thermique par contact métallique direct. Pour les coulissants, les fixations ne peuvent se faire uniquement sur l’un des profilés constitutifs du dormant RPT. Les pattes de fixations doivent donc recouvrir les 2 demi-profilés, créant ainsi autant de ponts thermiques que de pattes. Il faut donc isoler la patte coté dormant avec une cale pour rupture de pont thermique d’une épaisseur de 5 mm en un matériau dont la conductibilité est inférieure à 0,4 W/ Les fixations sont elles différentes pour les Bâtiments Basse Consommation ? Oui Dans les cas d’isolation par l’extérieur les pattes de fixation seront nécessairement différentes car on ne parle plus de rattrapage d’isolation » pour lequel les pattes classiques sont conçues. Dans les cas d’isolation par l’intérieur, le froid sera transféré tout près du nu intérieur de la pièce par la patte de fixation. Il est ainsi créé autant de zones froides que de pattes. Celles ci se voient distinctement quand est réalisée une thermographie de menuiserie posée. Pour obtenir le label BBC – effinergie les constructeurs de Bâtiments Basse Consommation refusent ces zones froides créées par les pattes de fixation. La solution est donc d’isoler la patte en amont avec une cale pour rupture de pont thermique. En quoi le DTU modifie t’il la norme pour les pattes de fixation ? Les pattes de fixation sont métalliques et peuvent être renforcées, en cas d’emploi de tôle de faible épaisseur, par la mise en forme d’une ou plusieurs nervures en angle ou par un gousset rapporté. L’une des branches de la patte de liaison constitue l’aile d’appui sur la structure porteuse, l’autre, l’aile d’appui pour le chant du cadre dormant de la fenêtre. Les ailes comportent des usinages trous, lumières, crevés,… permettant leurs fixations au support et leurs réglages. L’efficacité des fixations ne doit pas être altérée sous l’effet de vibrations normalement prévisibles. Les fixations ne doivent pas entraîner de déformation supérieure à 1 mm de l’élément fixé. La résistance admissible des pattes de fixation, en tenant compte de l’emplacement de leurs fixations, doit être au moins égal à la charge maximale supportée en œuvre. Cette résistance admissible doit être marquée sur les pattes. Le fournisseur des pièces doit être en mesure de fournir les justificatifs expérimentaux justificatif obtenu à l’aide d’appareils étalonnés par un organisme agréé permettant de déterminer la résistance admissible de ces produits. Les valeurs déterminées par ces tests et qui seront marquées sur les pattes doivent tenir compte d’un coefficient d’incertitude de 2. Depuis le 1er juin 2010 la Résistance Admissible est marquée sur les pattes DELDI. Dans un souci de partialité tous nos tests ont été réalisés dans un laboratoire indépendant agréé. Voir les normes de mise en oeuvre. Voir les conseils de pose.
Lorsque l’on rénove une maison ou un appartement, parmi les travaux les plus courants que l’on réalise, faire un faux plafond est en bonne position. Les raisons à cet engouement sont nombreuses que ce soit d’un point de vue pratique ou esthétique. Quelle est la différence entre un faux plafond suspendu et tendu? Quelles sont les avantages d’un faux plafond ? Comment le poser ? Nous vous disons tous ce qu’il y a à savoir sur le faux plafond et sa pose. Poser un faux plafond les avantages L’avantage d’un faux plafond est qu’il répond à de nombreux besoins. Chacun a une raison différente de se laisser tenter par la pose d’un faux plafond Pour améliorer l’isolation acoustique et thermique de la pièce Pour camoufler des câbles ou des canalisations Pour un rendu tout simplement plus esthétique Pour camoufler une grosse fissure dans le plafond ou lorsque celui-ci est très abîmé Pour installer un système d’éclairage et notamment des spots Pour abaisser la hauteur d’un plafond et ainsi faire des économies de chauffage Les trois types de faux plafond Il peut être sous trois formes le faux plafond suspendu, le faux plafond tendu et pour finir le faux plafond autoportant. Pour bien faire votre choix, nous vous expliquons en détail chacun d’entre eux ainsi que les avantages et les inconvénients de chaque système. Le plafond suspendu Le plafond suspendu, comme son nom l’indique, est suspendu à votre ancien plafond. Il s’agit d’une ossature légère, en aluminium ou en bois, composée de rails pour faux plafond et de dalles ou de plaques. L’ossature est fixée par des suspentes au plafond existant. Le rôle d’un faux plafond suspendu est dans la majorité des cas de créer un plénum espace vide pour isoler la pièce ou cacher des câbles. Le faux plafond tendu C’est une façon de refaire un plafond de façon originale et tendance. Les décorateurs d’intérieur ne jurent que par le plafond tendu. Il s’agit en fait d’une toile PVC qui devient souple et extensible sous l’effet de la chaleur. Elle est tendue entre des profilés qui sont fixés aux murs. Faire un plafond tendu est de plus en plus prisé mais reste cher encore à réaliser. Il est toutefois très présent dans les intérieurs contemporains car il peut se décliner dans toutes les couleurs et avec des motifs divers et variés. Sa solidité, ses qualités thermiques et acoustiques sont ses principaux atouts. Sachez que la pose d’un faux plafond tendu est très technique et demande un grand savoir-faire que seul un professionnel possède. Renseignez-vous sur le coût de la pose d’un plafond tendu en demandant des devis auprès de différents artisans. Cela est gratuit et sans engagement et vous permet de comparer les tarifs. Le faux plafond autoportant Demandez un devis près de chez vous et choisissez nos meilleurs artisans Beaucoup moins connu, le faux plafond autoportant est monté de murs à murs et sans suspentes. Son principe est assez simple. Il suffit de fixer des rails sur deux murs en vis-à -vis de la pièce, d’y emboîter et d’y fixer les montants. C’est une solution rapide avec des avantages acoustiques et thermiques. Le faux plafond autoportant est souvent choisi dans le cas d’une rénovation. La pose d’un faux plafond ne semble pas compliquée mais si vous n’avez jamais réalisé ce genre de travaux, nous vous conseillons de faire appel à un artisan. De plus, elle nécessite d’avoir du matériel adapté comme un niveau laser ou un lève-plaques. Si au contraire vous l’avez déjà fait ou que vous êtes un bricoleur expérimenté, nous vous expliquons la pose d’un faux plafond étape par étape. Astuce de notre expertLa pose d’un faux plafond, quel qu’il soit, demande quelques compétences techniques. Il faut réaliser une prise de mesure soignée et précise, monter les ferrures, poser les plaques et faire les finitions. Si vous ne l’avez jamais fait, il vaut mieux alors prendre contact avec un artisan. Faire un faux plafond ne coûte pas forcément cher. Faites faire un devis pour que vous ayez une idée plus précise du coût pour refaire votre plafond. Préparer la pose du plafond suspendu Choisissez d’abord les suspentes en fonction de la nature de votre plafond. Par exemple, pour une ossature en bois, vous allez devoir choisir entre des longueurs de suspente de 90, 180 ou 240 mm. Ce choix doit se faire en fonction de la hauteur entre le sol et le plafond que vous souhaitez. Vous devez commencer par tracer la hauteur de votre plafond suspendu. Pour cela, dans un coin de la pièce, repérez sur le mur sa hauteur. N’oubliez d’ajouter l’épaisseur de la plaque du faux plafond afin de savoir la hauteur des fourrures. Mettez votre niveau laser au centre de votre pièce en veillant à ce que le rayon soit projeté pile au niveau du trait que vous venez de faire sur le mur. Tracez maintenant une ligne de hauteur sur tous les murs de votre pièce. Installer les suspentes Commencez par fixer une première suspente à chaque angle de votre pièce. Elle doit être à 10 cm minimum du mur et vous servira de repère de hauteur pour toutes les autres. Placez la suspente contre la joue de la solive et réglez la hauteur par rapport au trait sur le mur. Vissez la suspente. Vous devez maintenant joindre les 4 coins qui sont équipés de suspentes à l’aide d’un cordeau de nylon qui sera tendu de l’une à l’autre. L’espace entre deux fourrures ne devra pas dépasser 60 cm et la liaison entre 2 plaques doit se faire hors des fourrures. Vissez maintenant un à un les rangs de suspentes en veillant à les espacer de 60 cm au maximum sur la longueur des solives et de 120 cm au maximum entre les solives. Le cordeau en nylon vous permet de vous guider pour l’alignement. Nos conseils si votre pièce ne possède pas d’angles droits, vous devez laisser un espace d’au moins 50 cm entre le mur et la plaque. Si la dernière solive est trop écartée du mur, la plaque risque d’être en porte-à -faux. Pour éviter cela, il suffit de cheviller une cornière de plafond sur les murs. Installer les fourrures Les fourrures se mettent en place en les clippant sur les suspentes. Il faut pousser fort sans hésitation jusqu’à que vous entendiez un clic ». Il signifie que la fourrure est bien mise en place. Pour les liaisons, il vous suffit de recouper les fourrures avec une scie à métaux. Des éclisses de raccordement vous permettront de les mettre bout à bout. Au fur et à mesure, avec une longue règle de maçon, vérifiez la planéité des fourrures. La pose des plaques du faux plafond Si vous avez un lève-plaques, cela vous facilitera grandement la pose car les roulettes vous permettent d’ajuster de façon précise le positionnement. Pour poser la première rangée, veillez à laisser un espace de 5 mm avec le mur. Procédez ensuite au vissage. Pour fixer chaque plaque, placez les vis tous les 30 cm le long des fourrures. Pour couper des plaques qui correspondent à vos mesures, il vous suffit de les placer au sol et avec une règle de maçon pour vous guider, de trancher la ligne au cutter. Délicatement, relevez maintenant la plaque, trait de coupe vers vous et pour qu’elle se casse net, poussez l’un des côtés de la plaque. Vous n’avez plus qu’à passer derrière la plaque et à trancher avec un cutter la face cartonnée. Faire les joints Maintenant que toutes les plaques sont posées, vous devez appliquer de l’enduit spécial pour joints entre les bords amincis. Posez sur ceux-ci une bande de calicot. Pensez à bien maroufler pour faire adhérer la bande. Repassez ensuite de l’enduit. Lissez avec un large couteau à enduire. N’oubliez pas le joint contre le mur. Vous devez lui aussi le renforcer avec une bande de calicot et de l’enduit.
Les boîtes de conserve, toutes les cuisinières du monde en ont dans leurs placards pour les dépanner ! Mais il faut bien avouer que si on adore les utiliser de temps en temps, on ne sait pas vraiment grand-chose à propos de ces petites boîtes en métal ou en verre. Eh bien pour réparer ça, on vous dévoile 10 choses à savoir sur les aliments en conserve ! SUR LE MÊME THÈME 1. Comment sont-ils mis en boîte ? Pour mettre des aliments en conserve, c'est tout un programme ! D'abord, on les passe à l'eau bouillante, puis on les place dans des bocaux avant de les stériliser et de les chauffer à haute température plus de 100°C pour les débarrasser des toxines et des micro-organismes qu'ils pourraient porter. Ensuite, on les dispose dans des conserves en verre, en métal, ou en plastique ! 2. On peut les manger périmés ! Bonne nouvelle pour les personnes qui ont parfois la folie des grandeurs au moment d'acheter des sardines à l'huile et du maquereau au citron vert si si, ça arrive ! tant que les boîtes ne sont ni cabossées, ni gonflées, ni toutes déformées, on peut les manger bien longtemps après la date de péremption indiquée. 3. Un avantage économique Autre atout des aliments en conserve globalement, ils sont moins chers que les produits frais, et même que les produits surgelés. Alors pour éviter d'aller au marché acheter une botte de carottes ou au supermarché acheter des carottes surgelées, on n'hésite pas à aller acheter des carottes en conserve chez l'épicier du coin ce sera moins cher ! 4. Ils sont souvent moins riches en nutriments... C'est vrai la plupart du temps, quand on met des fruits, des légumes, de la viande ou du poisson en conserve, cela fait perdre un certain nombre de nutriments aux aliments ; notamment les vitamines, les minéraux et les antioxydants, qui sont souvent détruits à hauteur de 40% après le blanchiment et le traitement à haute température. 5. … mais cela dépend ! Si les vitamines et les antioxydants ont parfois du mal à résister au processus de mise en conserve, il faut savoir que les fibres, les lipides, les glucides et les acides gras sont eux parfaitement conservés, et que les produits en conserve en contiennent autant que leurs homologues frais ! 6. Ils ont un goût légèrement différent On ne va pas se mentir en raison des traitements thermiques qu'ils subissent pour être mis en conserve, les aliments en boîte ont un goût un poil différent que lorsqu'ils sont frais. Cela peut également être dû au fait que les légumes sont souvent placés dans des jus assez salés ou vinaigrés pour optimiser leur conservation. A ce titre, pour éviter de faire le plein de sel, il peut être intéressant de regarder la teneur en sodium des conserves salées dans le commerce avant de les acheter ! 7. Ils ne sont pas dangereux ! Aujourd'hui il faut savoir que les aliments en conserve qui sont vendus dans le commerce sont garantis 100% sans risque pour la santé ! Déjà , parce que les aliments sont traités pour que toutes les bactéries qu'ils contiennent soient éliminées, et ensuite parce que la composition des conserves en elle-même fait l'objet d'une surveillance et d'un contrôle stricts. 8. Ils sont vraiment pratiques Il y a des cuisinières qui culpabilisent quand elles ouvrent une boîte de conserve. Quel dommage ! Acheter des produits en conserve, cela permet d'avoir dans ses placards des fruits et des légumes qui ne sont pas de saison toute l'année. Et nous faire manger plus de fruits et de légumes, ça, c'est un vrai bon point pour les conserves ! 9. Rinçage obligatoire ! Il est conseillé quand c'est possible de rincer les aliments mis en conserve avant de les faire réchauffer ou de les préparer. Ceci dans le but d'éliminer un maximum de sel et de débarrasser les aliments du goût de saumure qu'ils peuvent avoir, mais également de les rendre plus digestes. Pour les fruits en conserve par contre, le jus peut être conservé ! 10. On peut les faire à la maison ! Comme souvent, le meilleur moyen d'être sûr à 100% de ce qu'il y a dans notre assiette, c'est de faire du homemade ! Eh bien ça marche aussi pour les conserves en stérilisant bien des bocaux, en choisissant des aliments bien mûrs et en préparant une saumure maison, on peut tout à fait préparer ses propres conserves !
comment savoir si les bandes de placo sont bien faites